Volupté suprême et mortelle douleur
Lors de son septième concert symphonique, l’orchestre symphonique de Bâle fait passer son public par les émotions les plus contraires.
Le septième concert de l’orchestre symphonique de Bâle, l’un des orchestres suisses les plus réputés, fait passer l’auditoire par les émotions les plus contraires. Il débute par le funèbre Adagio for Strings de Samuel Barber. Dans un sondage de la BBC, les auditeurs jugèrent cette pièce le morceau de musique le plus triste qui soit ; on le joua aux obsèques de John F. Kennedy et de Albert Einstein et il fut omniprésent après les évènements du 11 septembre. Le Concerto en fa pour piano de George Gershwin, destiné avec ses éléments de jazz et de blues à jeter un pont entre l’Europe et l’Amérique, est manifestement plus gai. Le programme de la soirée se termine par la suite Tableaux d’une exposition de Modeste Mussorgski, cycle inspiré par une série de dix tableaux du peintre Victor Hartmann.
Introduction au concert par Roland Fleig à 18h30
Pour en savoir plus
Site de l’orchestre symphonique de Bâle (D)
Plus d’informations sur le concert (D)
SWR2 au sujet de l’Adagio (D)
Conception de Tableaux d’une exposition (D)
Biographie de George Gerschwin (D)
Vidéo: George Gershwin, Concerto en fa
Vidéo: Modeste Mussorgski , Tableaux d’une exposition
Vidéo: Samuel Barber, Adagio for Strings
