En duo avec la danseuse Marion Barbeau, Laura Bachman rend visible le toucher, son absence, comme l’énergie qu’il crée entre deux corps. Cette conversation en mouvement, les deux danseuses la mènent aussi avec le musicien Vincent Peirani (accordéon) en un trio dansé et joué, comme une invitation à voyager dans un monde où les corps conversent, se caressent, s’approchent et s’éloignent, se cherchent, se trouvent et se perdent, se méprennent ou s’entendent.
Le TnS cherche des volontaires pour Seppuku d’Angélica Liddell
Le Théâtre national de Strasbourg cherche des figurants et figurantes pour la création Seppuku d'Angélica Liddell, avant le 15/01/26. Dans...
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