Le hautbois est le héros de cette soirée. Richard Strauss lui a bien sûr confié la partie soliste du concerto qu’il compose en 1945, « une partition majeure de notre répertoire, dit François Leleux, conçue comme un requiem, avec de nombreuses auto-citations des oeuvres de Strauss ». Une oeuvre qui exige un souffle hors du commun, et qui a fait s’évanouir sur scène plusieurs solistes ! Le hautbois est aussi l’instrument qui mène la danse dans le deuxième mouvement de la Neuvième Symphonie de Schubert, un mouvement plein d’allant, qui conduit soudain à une catastrophe. Car cette symphonie est aussi un passionnant récit en musique, qui passe par tous les climats et se résout finalement en apothéose.
Le TnS cherche des volontaires pour Seppuku d’Angélica Liddell
Le Théâtre national de Strasbourg cherche des figurants et figurantes pour la création Seppuku d'Angélica Liddell, avant le 15/01/26. Dans...
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