Le hautbois est le héros de cette soirée. Richard Strauss lui a bien sûr confié la partie soliste du concerto qu’il compose en 1945, « une partition majeure de notre répertoire, dit François Leleux, conçue comme un requiem, avec de nombreuses auto-citations des oeuvres de Strauss ». Une oeuvre qui exige un souffle hors du commun, et qui a fait s’évanouir sur scène plusieurs solistes ! Le hautbois est aussi l’instrument qui mène la danse dans le deuxième mouvement de la Neuvième Symphonie de Schubert, un mouvement plein d’allant, qui conduit soudain à une catastrophe. Car cette symphonie est aussi un passionnant récit en musique, qui passe par tous les climats et se résout finalement en apothéose.
Evelyn Zelada Biecher : debout pour la culture !
À Strasbourg, Evelyn Zelada Biecher, directrice artistique de l'espace culturel Quai de Scène, ouvert en tout début d'année, se lève...
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