Elle n’était plus qu’un numéro d’archive, un document, un code à déchiffrer.
Désormais, les musiciens œuvrent à la manière d’archéologues dans les dédales d’un site funéraire. Que peut encore nous dire une œuvre musicale issue d’un passé perdu ? Que révèlent ses différentes strates ? Entre répétitions et variations, Séverine Chavrier et Pierre Jodlowski déplacent l’écoute de la symphonie mozartienne grâce aux moyens du théâtre.
Production déléguée Festival Musica
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Coproduction Centre Dramatique National d’Orléans, Orchestre philharmonique de Strasbourg
avec le soutien du Théâtre National de Strasbourg