Dys sur dys c’est l’histoire de Pirlouit. Pirlouit est dyspraxique. Dyspraquoi ? Dyspraxique ! De la famille des troubles DYS, la dyspraxie est un peu comme une dyslexie de l’espace abstrait et physique. Enfin pas vraiment. C’est un trouble qui fait qu’on a du mal à automatiser les gestes fins, comme l’écriture, faire ses lacets, tout ça… Ça te tombe dessus comme ça, TAC ! Un T.A.C., trouble de l’acquisition de la coordination. Pirlouit est donc dyspraxique. Il va nous raconter son enfance, sa jeunesse, en traversant ses souvenirs liés à la différence, aux échecs et aux joies. Il est accompagné par l’Homme-Orchestre et par Fantômette, un fantôme unique qui, une fois-là, ne le quittera plus. Dys sur dys aborde ainsi le rapport à la norme et à la différence, par le prisme spécifique de la dyspraxie.
- Dans le cadre de la Quinzaine culturelle en Belgique
- À partir de 8 ans
- 1h10
- Écriture : François Gillerot et Arthur Oudar
- Mise en scène : François Gillerot
- Interprétation : Lucile Charnier, Gaspard Dadelsen et Clément Goethals
- Création lumière : Amélie Géhin
- Création sonore : Gaspard Dadelsen et Benoit Guilbert
- Scénographie et accessoires : Marie Menzaghi
- Costumes : Marine Vanhaesendonck
- Régie : Lou Van Egmond