Si l’on cite le nom de Mozart et si on lui associe la nuit, la Petite Musique de nuit vient évidemment très vite à l’esprit.
C’est cette oeuvre pleine d’allant qui ouvre le concert de Noël et sert de prélude à la somptueuse Grande Messe en ut mineur, laquelle, avec le Requiem, est la plus vaste partition d’inspiration sacrée que nous a laissée Mozart.
Une messe qui a peut-être été écrite pour fêter la naissance du premier enfant du compositeur, et qui comporte une page délicieuse, l’Et incarnatus est, conçue comme un hymne à la naissance, c’est-à-dire comme une scène de Noël.
Les Quatre motets pour le temps de Noël de Poulenc, quant à eux, sont quatre délicieuses miniatures a cappella qui vont de l’émerveillement à la louange.
1er EP pour les flamands francophiles de Less AUTRE
Less AUTRE est un groupe de cinq individus - belges flamands de leur état - qui repousse sans effort les...
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