Soul spirit
Un peu de B.B. King et de Jimi Hendrix, une tradition blues léguée par son père Luther Allison, Bernard Allison promène sa spiritualité et sa science de la musique de Chicago à travers l’Europe.
À 10 ans, Bernard Allison n’avait pas encore empoigné de guitare mais fouillait dans les disques de son père, l’injustement méconnu Luther, pendant qu’il était en tournée. De cette culture soul/blues, il garde de fortes influences : B.B. King, T-Bone Walker ou Lightnin’ Hopkins auxquelles il ajoutera plus tard Jimi Hendrix. À 13 ans, il enregistre quelques chansons avec son père et prend son envol dès la majorité acquise aux côtés de la formation Koko Taylor’s Blues Machine. Aujourd’hui, il continue de perpétuer une certaine tradition de la Black Music de Chicago à Paris, en secouant riffs et groove sur la même guitare que son père. Une guitare électrique, un doigté exceptionnel, la même voix soul que son père et une spiritualité à vous élever, Bernard Allison a le blues qui démange. (C.B.)
Pour en savoir plus
– Le site de Bernard Allison (EN)
– Portrait de Bernard Allison par thegleaner.com (EN)
– Interview de Bernard Allison par prague.tv (EN)
BONUS
Extrait live de Wouldn’t treat a dog
