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Que des bonnes nouvelles : après la sortie ce printemps de son nouveau et très beau disque Toute latitude, Dominique A repart en tournée. Une tournée « électrique » avec un groupe, c’est pour ce printemps. Dès cet automne, un deuxième disque sortira, La fragilité, suivi d’une nouvelle tournée, en solo, plus intimiste cette fois. Décidément, au fil des années Dominique A continue à nous surprendre et s’installe durablement comme un des auteurs-compositeurs-interprètes majeurs sur les scènes francophones.

 

Laissons Dominique A présenter lui-même Toute latitude l’album sorti ce printemps et La fragilité, attendu (avec impatience toujours) pour cet automne.

 

« A la question qui taraude les artistes installés : « Pourquoi faire un album de plus ? », une réponse possible : « Et pourquoi pas deux ?. » 

Au-delà de la boutade, posons les choses en ces termes : après 10 albums, livrés avec régularité, et dont le dernier en date, Eleor (2015), fut très bien accueilli, l’envie d’une longue pause eût pu se faire sentir. Il n’en fût rien. Au contraire. 

Il y aura même deux disques, l’un au printemps, l’autre à l’automne, et à deux tournées correspondantes : la première en groupe pour l’album électrique, Toute latitude, et l’autre en solo pour l’album à dominante acoustique, La fragilité. Une façon, finalement, de faire un sort à cette créature aux aguets, au nom terrible, la routine. 

Suivant un mouvement de balancier habituel, chaque nouvel album est comme une réponse au précédent : à la douceur et la suavité revendiquées d’Eléor, répond ainsi l’énergie et le côté up-tempo de Toute latitude, qui s’aventure sur des terrains plus électro et électriques, avec une production plus dense, davantage tournée vers les détails et les effets. Mais l’objectif est le même : proposer des chansons, si possibles marquantes et mélodiques. Avec des textes globalement plus explicites que par le passé, comme en attestent des titres comme Désert d’hiver, Lorsque nous vivions ensemble ou Se décentrer. D’autres morceaux, en mode parlé chanté, s’inscrivent dans une veine plus narrative, et privilégient une forme de tension allant crescendo, tels Les deux côtés d’une ombre et Corps de ferme à l’abandon. En fermeture de ban, le plus apaisé Reflet, emmené par une guitare acoustique, opère un lien avec l’album qui va suivre La fragilité. »

— Dominique A 

 

photo : Vincent Delerm

 


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