Anti-folk
La chanteuse et guitariste américaine Diane Cluck, idole d’Antony Hegarty et Devendra Banhart, distille une folk sensible et singulière.
Au début des années 2000, Diane Cluck faisait partie du mouvement anti-folk à New-York. Aujourd’hui, sa musique s’en ressent positivement : elle ne s’oppose pas à la folk, mais l’enrichit par d’autres instruments et de nouvelles formes artistiques. Les critiques sont souvent conquis par la musique de Diane Cluck, plus complexe que celle d’autres artistes anti-folk comme Regina Spektor, Jeffrey Lewis ou les Moldy Peaches.
Cluck ne séduit pas seulement par sa voix limpide, mais également par ses talents de guitariste : son accompagnement minimaliste laisse suffisamment d’espace aux paroles de ses chansons pour s’épanouir pleinement. Dans ses albums, Diane Cluck se sert également d’autres instruments comme l’harmonium, les percussions ou le violon, qu’elle a appris en autodidacte. Sur sa tournée européenne, elle présente son septième album, Boneset.
Pour en savoir plus
– Interview de Diane Cluck dans Hook and Line Magazine (EN)
BONUS
Diane Cluck interprète Nowhere to go & Everywhere to stay