Figures libres
La performance démarre au quart de tour. Normal, puisque que cette formation a choisi de prendre un nom célébrant un coureur américain qui a décroché trois médailles d’or olympiques au début du 20e siècle. The Great Harry Hillman déballe un jazz qui prend parfois les jambes à son cou. Ou alors plus délicat quand les quatre compères (Nils Fischer au saxo, David Koch à la guitare, Samuel Huywiler à la basse, Dominik Mahning à la batterie) enchaînent des figures géométriques improbables, des séquences épurées. En toute liberté. (F.B.)