Les roses classiques sont celles qui ont les plus belles épines
La belle au bois dormant est un conte de Perrault qui a été publié en 1697 dans le recueil Contes de ma Mère l’Oye. Ludwig Bechstein a repris cette histoire dans son Deutsches Märchenbuch sous le titre Das Dornröschen. Et c’est en 1890 que le récit de cette beauté endormie a été présenté pour la première fois sous la forme d’un ballet au Théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg, sur une musique de Tchaïkovski.
Le génie de la chorégraphie de Marius Petipa n’a jamais autant été mis en relief que dans ce véritable feu d’artifice chorégraphique, dans lequel chaque numéro de danse est ciselé avec une précision extrême. Les 50 danseurs*euses du Yacobson Ballet perpétuent la tradition du ballet avec une perfection technique absolue tout en apportant de la modernité aux grandes pièces du répertoire. Ils réveillent ainsi ce joyau de la danse classique, dans une version étincelante signée Jean-Guillaume Bart, chorégraphe français et danseur étoile de l’Opéra de Paris. Les épines classiques sont sans doute celles qui nous touchent le plus… Laissez-vous entraîner dans un monde féerique où les grands ensembles alternent avec de sublimes pas de deux. Attention, vous risquez d’être piqué(e) !
Musique : Piotr Ilitch Tchaïkovski
Livret : Ivan Vsevolojski, Marius Petipa
D’après le conte de : Charles Perrault Chorégraphie : Jean-Guillaume Bart d’après Marius Petipa
50 danseurs*euses du Yacobson Ballet
Photo : Opéra de Reims
Pour en savoir plus
- 3h avec entractes
- De plus amples informations sont disponibles sur le site de l’Opéra de Reims
- Dans le cadre du festival Reims Scènes d’Europe